20 January 2024/
No Comments
Lorem ipsum dolor sit amet, consectetur adipiscing elit. Ut elit tellus, luctus nec ullamcorper mattis, pulvinar dapibus leo. Les pianistes qui m’accompagneront Anastasya Belan, pianiste concertiste…
En découvrant ces Instants de grâce, je ne peux m'empêcher de penser à Verlaine évoquant son rêve familier ̶ ce rêve étrange et pénétrant ̶ sensuel et poétique.
D'une main dentelière, Dominique Faure écrit, danse, dessine, compose, chante l'amour.
Avec tendresse et sensualité, est évoquée la passion qui unit François et Frédéric, deux artistes dont l'âme est gravée de souvenirs douloureux.
Car si le roman est nourri de rêve et du bonheur présent, il porte aussi la violence des cauchemars surgissant de leur enfance déchirée.
Tout au long de son livre, l'auteur nous invite au voyage, de soirées intimes en jours d'absence désolée, de chagrin profond en joie intense, de sereine volupté en peur intestinale, d'incontournable violence en suave douceur.
Ses héros sont beaux et nobles. Comment pourrait-on ne pas les aimer ?
"L'amour (…) est-il capable, seul, de réparer ?" (page 346)
Réparer le traumatisme d'un viol subi à l'adolescence, réapprendre à un corps abîmé qu'il peut éprouver du plaisir, sans continuer à rechercher ce qui fait mal, ce qui blesse en entretenant ainsi les cauchemars de la violence subie ?
Réparer le cœur décousu, en étant à l'écoute, en offrant bienveillance, patience, amour fou sans rien consumer ?
Tel est l'enjeu du narrateur, François, -peut-être un avatar de l'auteur au prénom épicène- qui aime Frédéric, le pianiste si fragile, à la masculinité si féminine et au prénom euphoniquement androgyne...
Un très beau roman, au rythme lent, hors du temps mais bien ancré dans le temps présent, et dont s'échappent parfois quelques effluves délicieusement surannés. À découvrir très vite.
Couverture sublime pour une histoire bouleversante. François auteur, rencontre Frédéric pianiste, à la radio.
Leur stress les fait se rapprocher. François, le narrateur, tombe instantanément sous le charme de Frédéric, à la beauté exceptionnelle, presque féminine!
Est-ce le destin qui a veillé au face à face de ces deux hommes aux mêmes initiales " Frédéric Melcour-François Marchal", tout juré t-il qu'entre eux, c'est une connexité unique et immédiate.
Des sentiments forts évoluent tout en tendresse et retenue. Leurs corps se frôlent avec pudeur et respect, sans jamais atteindre le plaisir que le corps de Frédéric refuse.
François apprendra que Frédéric est un homme blessé dans sa chair, meurtri dans son âme, s'étant enfermé dans sa douleur…
Difficile de quitter François et Frédéric.
L' autrice propose un livre intitulé " Théo ou les chemins du désir ", un titre poétique, musical, en adéquation parfaite avec l'histoire.
La couverture atypique accroche le regard par son message implicite.
Publié en 2023 aux Éditions Ex Æquo, ce roman prolonge avec brio l'œuvre de Dominique Faure.
Le prologue nous plonge d'emblée dans un contexte singulier qui interpelle le lecteur.
Lire une telle histoire devient une évidence.
Au travers de ce roman, l'écrivaine nous dévoile l'histoire de Théo, qui en s'inscrivant comme animateur sur un site de rencontres, va se créer plusieurs profils.
Différentes thématiques sont abordées notamment l'homosexualité et la difficulté de l'avouer à l'autre, en l'occurrence la famille:
" J' ai tu à mes parents mon amour pour Hugo, évidemment… J'avais peur pour lui. J'avais peur pour moi…"
Lorem ipsum dolor sit amet, consectetur adipiscing elit. Ut elit tellus, luctus nec ullamcorper mattis, pulvinar dapibus leo. Les pianistes qui m’accompagneront Anastasya Belan, pianiste concertiste…
Dominique Faure fera une lecture en musique au Centre Culturel de Differdange au Luxembourg le 11 mars 2024, à 19h 30. Dominique sera accompagnée au piano…
Théo a 20 ans lorsqu’il quitte son Auvergne natale et poursuit ses études de lettres à Paris. Il ignore tout de la capitale où il n’a…
Auteur aux Editions Ex Aequo, je dirige aussi la Collection Audiolivres de mon éditeur.
© 2023, Dominique Faure Auteur. Crée par Pascal Ashuza
